La Carte d'Helsephine Zerbe
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

La Carte d'Helsephine Zerbe

Bienvenue sur le forum de la guilde "La carte d'Helsephine zerbe". Disponible sur le jeu Dofus, serveur Allister.
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

 

 Ma vie, mes débuts

Aller en bas 
AuteurMessage
mady-ly

mady-ly


Messages : 5
Date d'inscription : 17/12/2008
Age : 31

Ma vie, mes débuts Empty
MessageSujet: Ma vie, mes débuts   Ma vie, mes débuts Icon_minitimeJeu 18 Déc - 0:15

Chapitre 1 : les Fausses Ailes.


Il y a de ça fort longtemps,
Le feca du nom d’Allister captura le démon Uk’ Not’ Allag, qui après une longue bataille sans merci, tomba dans un profond coma. Allister en profita pour le lié avec de bonne corde qu’il avait fabriqué de par ses propres mains. Il ramena le démon à la prison d’astrub d’où il reçu une forte récompense; le titre de roi d’Amakna.

Aussitôt, il fut escorté par drago-dinde vers son nouveau château en quête d’un nouveau roi. Les habitants l’acclamèrent de toute voix, l’on pouvait entendre les cris jusqu’au plaines de Brakmar. Mais Allister commençais à avoir peur, la capture du démon aurait-elle enragé plus d’un habitant de Brakmar. Pour s’en protéger, il envoya une missive privé à la capitale de bonta, demandant aide et soutiens dans ce qu’on aurait pu appelé une guerre.

Metis l’ecaflip fut désigné comme porteur de cette lettre et responsable du retour de la réponse de la milice de bonta. Metis courues à toute jambe, bravant les champs d’astrub en piétinant mainte rose démoniaque et tournesol sauvage, passant par les plaines rocheuse évitant de loin les craqueleurs des plaines et les affreux kanigrous accompagné de leur serpentin. Rendu près des portes de bonta, après plus d’une semaine de marche, il rencontra un troupeau de maitres bolets. Ils semblaient enragé et près à attaqué n’importe qui passant sous leur vue. Metis eu toute la misère du monde à passé inaperçu de se troupeau.

Enfin rendu à la milice de bonta, Metis alla porter le message au responsable des lieux et alla se prendre une nuit de repos à la taverne la plus proche. Arriver sur les lieux, il commanda des succulentes cuisses de bouftou aromatisé au citron. Mais tout près de sa table, il pu discerner une discutions des plus douteuse venant d’un Sram et d’un Xélor.

Sram : alors, j’espère que tu as bien compris ce que tu dois faire.

Xélor : ne t’inquiète pas, à la tombé de la nuit je m’occuperai de son cas, ce ne sera pas la première fois que je fais sa!

Sram : oui mais la dernière fois tu as failli tout faire foiré, et Ogivol ne serra pas content de toi si tu rate ce cou, c’est l’avenir de Brakmar qui est entre nos mains.

Xélor : ne t’inquiète pas je dis…

Metis se leva tout en aillant l’air le moins suspect possible, alla payer son repas et retourna à la milice d’un pas rapide. Il tenta d’expliquer au dirigeant de la place ce qu’il venait d’entendre quand soudain, le même Xélor et sram entrèrent dans les lieux. Metis arrêta subitement de parlé…

Xelor : heumm on à fini notre quart de garde, on va aller se balader un peu a la recherche de ses brakmariens, on a entendu dire que certains paysans en ont aperçus près des lieux.

Dirigeant milice bontarienne : Bien, faites, et rapporté moi tout incident.

Sram : ne vous inquiéter pas, tout incident vous sera reporté sur les plus bref délais…

Dirigeant milice bontarienne : Bon que disiez-vous jeune homme, deux homme douteux à la taverne? C’est cela? Demanda-t-il à Metis.

Metis ne répondit pas aussitôt, il regarda si les deux hommes avaient entendu avant de répondre, mais les deux hommes se retournèrent et regardèrent Metis droit dans les yeux.

Xélor : Ha oui! Ou sa? Dites-moi je suis curieux de savoir ou je pourrais trouver ces deux malfrats

Sram : dites-nous, ou vous les avez vues?!

Metis : et bien… heumm je… je crois que…

Xélor : tu crois qu’ils seraient dans les champs présentement?!

Le sram en profita pour pointer sa dague discrètement dans le dos de Metis pour l’inciter a répondre positivement, sans que le dirigent de la milice s’en aperçoivent.

Metis : oui c’est sa…

Dirigeant milice bontarienne : et bien alors, allez avec lui pour les retrouver, et ramené moi c’est deux malfrats. Ou punissais les comme vous le pouvez.

Sram : ne t’inquiète pas, pour être punis, ils vont être puni, dit-il en regardant Metis.
Revenir en haut Aller en bas
mady-ly

mady-ly


Messages : 5
Date d'inscription : 17/12/2008
Age : 31

Ma vie, mes débuts Empty
MessageSujet: Re: Ma vie, mes débuts   Ma vie, mes débuts Icon_minitimeJeu 18 Déc - 0:16

Chapitre 2 : la lettre secrète.

Rendu dans les champs,
Loin de toute vue, les deux brigands se présentèrent à leur future victime.

Xélor : et bien, et bien, avant de mourir tu ferais mieux de connaître nos noms, je suis Geist le Xélor et voici Métis le vile Sram.
Vertigo : bon assez de présentations, qu’était tu venu porter?

Metis : moi, rien je ne faisais qu’une visite de courtoisie, vous savez le marchandage et tout le tralala, j’étais à la recherche d’un petit chacha, radota-t-il.

Geist : tu nous prends pour des idiots ou quoi?! Donne nous la lettre de réponse que le dirigeant ta donné, et nous te laisseront partir sans aucun problème…

Metis : je ne voie pas de quoi vous voulez parler…

Vertigo : ne joue pas les imbéciles avec nous, tu sais très bien de quoi on parle!

Metis : et bien à vrai dire

Vertigo frappa de plein fouet Metis au visage. Metis, par la force du cou, fut propulsé au sol.

Vertigo : maintenant donne-nous ce que l’on veut…

Metis tandis la lettre aux deux malfrats. Geist la lui arracha aussitôt des mains et la lut.

Geist : et bien, et bien, je voie que Allister à les chocottes, à peine il gagne son trône qu’il à déjà peur de le perdre… je dois avouer qu’un Feca n’est pas trop habituer de perdre tout ce qu’il a.

Geist et Vertigo parla alors entre eux, puis, après quelque minutes de discussions, ils se mirent d’accords sur un point.

Vertigo : parfait, tu peu partir, nous avons plus rien à faire de toi, et si tu veux, tu peux parler de nous, mais jamais personne ne te croiras alors, allez bon vent.

Geist jeta l’enveloppe vide au visage de Metis puis quitta suivi de Vertigo non loin de lui. Mais Metis remarque quelque chose dans le papier d’enveloppe. Il renfermait deux messages, et Geist n’a surement pas dut le remarquer. Metis, immergé de curiosité, le lut aussitôt.


Chère Allistere,
Comme je le disais dans la précédente lettre, je me ferai une joie de vous aider, mais en échange, serait-il possible de votre part de faire une petite enquête du coin d’Astrub et ses environs. Il y a une légende, qui raconte que, d’après une ancienne ligné de mercenaire, un nouveau clan sera construit dans quelque années. Ce clan ce prendra le nom de Samouraï, qui rappelle les anciens combattant du temps de l’énorme guerre entre Bonta et Brakmar, du temps ou les roublards courraient les champs a la recherche de victimes à piller. Du temps, que les terres de tainela avaient raison d’être surnommé le berceau de la vie, terres des nouveaux arrivants.
Une femme du nom de Saielle, aura une enfant, et cette enfant re-fondra ce que l’on appelle un clan mercenaire.
Ce clan vous sera fort utile, moyennant quelque Kama bien sur (il faut gagner sa vie et tu le sais).


Amayiro, Ancien Samouraï.


Dernière édition par mady-ly le Jeu 18 Déc - 0:19, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
mady-ly

mady-ly


Messages : 5
Date d'inscription : 17/12/2008
Age : 31

Ma vie, mes débuts Empty
MessageSujet: Re: Ma vie, mes débuts   Ma vie, mes débuts Icon_minitimeJeu 18 Déc - 0:17

Chapitre 3 : La naissance d’une Samouraï.


Metis, alla porter la lettre caché au roi après plusieurs jours de marche. Allister fut bien content d’enfin recevoir cette lettre, mais fut un peu déçu de la réponse de la part de bonta.

Allister : Je n’ai jamais réellement crus aux prophéties ou aux légendes.

Metis : Mais sa vouloir vous offenser, vous allez quand même vous y tenter?

Allister : Pas le moindre du monde, de toute manière les mercenaires… on ne peut s’y fier, ce ne sont que des épées vendues.

Metis : Mais qu’allez-vous faire?

Allister : Je crois que je vais recruter tout gens possible à cette cause.

Metis, déçu de la réponse du roi, salua le roi, et quitta le château. Il sortit un kama de sa poche, la regarda quelque instant puis le frotta du bout du pouce un peu.

Metis : Pile, je le fait, face, je suis les indications du roi.

Puis il lança la pièce du plus haut des airs et la rattrapa. Sans regarder la pièce, la gardant dans son poing fermé, se dirigea vers Astrub.

Metis : Je ne sais pas pourquoi, mais Ecaflip lui-même me dit d’y aller.

Rendu à Metis, il suivi alors sont instinct. Passant devant la banque, ignorant les marchands à l’hôtel de vente des ressources. Passant devant multiple étalage vendant de la laine de bouftout idéal pour les excursions hivernales, œuf de tofu le régale de n’importe quel aventurier. Puis devant l’hôtel de vente des Alchimistes. Il s’arrêta d’un pied ferme devant cet établissement, il avait entendu ce qu’il recherchait.
Metis : Au zaap d’Astrub!

Il se dirigea vers le Zaap à toute jambe d’où il vit une femme, sur le point d’accoucher, utilisant le zaap.
Metis : Ou cette femme est-elle parti! Je dois lui parler!
Sadida : Vers sufokia, elle dit que sa maison était là…
Sans plus attendre, Metis se dirigea vers le zaap, et l’utilisa en direction d’Astrub. Rendu sur les lieux, il utilisa encore une fois de son instinct pour retrouver la femme.

Quelque heure plus tard, son intuition l’amena à bon port, il se trouvait devant la bonne maison. Enfin, il ouvra son poing, regardant de quel coté le Kama avait tombé.
Metis : Pile…

Il cogna à la porte, la porte s’ouvrit sous les cous de Metis, la porte était mal enclenchée. La maison de la prénommé Saielle semblait en désordre au premier regard, mais après quelque seconde, on pouvait que remarquer le drame qui venait de s’y commettre. Saielle eu un accouché difficile, elle réussit à accouché, mais durant l’accouchement elle perdit trop de sang. Elle était morte. L’on pouvait entendre les pleurs du nouveau né détruire le silence absolu. Metis s’approcha de l’orpheline, l’enroula avec une couverture qui traînait non loin de là. Il laissa tomber une lampe à huile pour ainsi laisser répandre les flammes de la lampe a travers la maison entière. Il sorti de la petite maisonnette, et quitta les lieux vers son chez lui, à Amakna.


Dernière édition par mady-ly le Jeu 18 Déc - 0:19, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
mady-ly

mady-ly


Messages : 5
Date d'inscription : 17/12/2008
Age : 31

Ma vie, mes débuts Empty
MessageSujet: Re: Ma vie, mes débuts   Ma vie, mes débuts Icon_minitimeJeu 18 Déc - 0:17

Chapitre 4 : Papa eca

Metis ramena avec lui le poupon, il se dirigea vers le château du roi Allister. Il présenta l’enfant au roi.

Metis : Chère roi, malgré ce que vous en pensez, j’ai pris l’initiative de trouver cette enfant. Je l’ai trouvé près de sa mère… morte. Elle eu un accouchement difficile je crois.

Allister : Et tu veux que j’en fasse quoi? Un enfant ne peut pas diriger des mercenaires, et la guerre est proche.

Metis : mais au moins nous pouvons faire quelque chose pour l’enfant. Nous ne pouvons pas l’abandonner à son propre sort.

Allister : Fait en ce que tu veux, mais, ne viens pas me déranger avec ces histoires de légendes. J’ai un pays à protéger, je n’ai pas le temps de jouer la gardienne d’enfant.

Metis : Je pourrais l’élever, je m’assurerais d’en faire une combattante.

Allister : Tu n’as aucun droit sur cette enfant mon petit, tu n’es pas le père.

Metis : vous pourriez me mettre en charge?

Allister : certes, que par les pouvoirs qui me sont conféré, je te nomme père de l’enfant radota-t-il avec désintérêts.

Metis quitta le château avec son nouvelle enfant. Il se dirigea vers sa demeure d’Astrub.




6 ans plus tard…

Mady-ly : Papa? Pourquoi qu’il y a tant de guerre entre les Bontariens et les Brakmariens?

Metis : Ils ne partagent pas les mêmes convictions.

Mady-ly : Papa? Pourquoi les srams sont aussi moches?

Metis : Ils n’ont pas eu ta chance, toi tu as été une chanceuse petite fille qui a hérité de la force du dieu Sacrieur et de la beauté des Fecas.

Mady-ly : ha oui? Papa? Pourquoi tous mes amis disent que tu n’es pas mon vrai papa?

Metis : heum, ils sont jaloux de toi…



10 ans plus tard

Mady-lu, devenu forte avec le temps, était devenue une fille fortement jolie, elle avait rencontré plusieurs personne, tel que Frank, Bobinette, lightangel et compagnie. Elle vivait une vie tranquille, jusqu'à un certain jour…
En nettoyant la maisonnette familiale pendant que son père était parti labouré les champs, elle trouva une lettre sur le lit de son père. Sans plus attendre elle y jeta un cou d’œil. Sa venait d’Amayiro, un des dirigeants de la milice de Bonta. Son père et lui était de bon amis et sa elle le savait, mais, elle qui n’avait pas l’habitude de fouiner dans les choses des autres, elle ce sentait attiré par cette lettre. Sans plus attendre elle la lut.


Mon bon vielle ami Metis

Je crois qu’il est temps de dire la vérité à ta fille, l’heure est venu pour elle d’accomplir son devoir. Elle qui est devenue assez grande et assez forte, devrais être capable de bâtir ce clan, sa famille.
Avec cette lettre je t’ai laissé un guildalogemme, avec ceci, elle pourra créer ce qui deviendra le futur clan mercenaire.
Et ne lui cache plus aucune vérité, dit lui ce qu’elle doit savoir, oui sa va lui faire mal d’apprendre que non tu n’es pas son véritable père, mais, du moins elle ne se fera pas surprendre par sa plus tard dans sa vie. Et c’est franchement mieux pour elle qu’elle l’apprenne de par ta bouche que par celle de son ennemi.
Bref, sur ce je dois te laisser. Dit lui que je lui souhaite bonne chance, et que je suis persuader qu’elle va triompher sa futur quête.

Ton vielle ami, Amayiro






Mady-ly fut sur le choc, elle ne savait que trop penser. Puis Asaah entra dans sa chambre et découvrit sa fille en larme.

Metis : je voie que tu as lu la lettre… je m’en excuse.

Mady-ly : mais?! Je suis qui moi alors?

Metis : tu es ma fille, je suis ton père, peut importe ce que les gens peuvent en penser, je t’ai élevé, j’ai travaillé pour te nourrir, j’ai changé tes couches, j’ai payé tes vêtements. Personne d’autre que moi la fait… je suis ton père.

Mady-ly : je ne sais pas quoi en penser, dit-elle en s’assoyant sur le lit.

Metis s’approcha d’elle et sorti de sa poche une pierre.

Metis : voici une guildalogemme. Elle t’aidera à construire ton clan. Toi-même qui disais que tu voulais bâtir un clan de combattant, c’est ta chance. Va à Bonta, un sensai va t’apprendre l’essence des combats les plus magistraux, les codes du Samouraï.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Ma vie, mes débuts Empty
MessageSujet: Re: Ma vie, mes débuts   Ma vie, mes débuts Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Ma vie, mes débuts
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
La Carte d'Helsephine Zerbe :: Auberge de l'Ours Bedonnant :: Le Cabaret de Navisord-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser